Une équipe à l'écoute de ce qui ne s'achète pas : les souvenirs, les émotions, les liens.
Derrière Eternall Stories, une équipe guidée par le souvenir de ce qui aurait pu être transmis.
Tout commence avec une chocolatière en argent.
Un objet offert par une grand-mère, précieusement conservé depuis 1908. Ce jour-là, en la tenant entre ses mains, elle a raconté son histoire. Pendant vingt minutes, le temps s’est suspendu. Et puis… rien. L’instant s’est envolé. Et Charles, le fondateur d’Eternall Stories, a compris qu’il serait incapable de partager un jour ces récits avec ses propres enfants.
Ce souvenir manquant n’est pas une exception — il est universel.
Alors, quand la vie l’a fait devenir père, ce regret s’est transformé en nécessité. Celle de préserver ce qui compte vraiment : les liens, les voix, les gestes, les émotions.
Il aurait pu en rester là. Mais deux rencontres ont fait grandir l’intuition en projet.
Yushing, passionnée de récits et de transmission, sensible à la beauté de l’intangible, rejoint l’aventure pour donner corps aux histoires et âme aux objets. Stéphane, ingénieur du détail et rêveur discret, voit dans ce projet l’écho d’un manque personnel : ces fragments de mémoire qu’aucune technologie n’a su préserver, jusqu’à aujourd’hui.
Tous trois partagent une même conviction : ce qui donne sa valeur à un objet précieux, ce sont les émotions qu’il traverse.
Et pourtant, dans l’univers du luxe, cette dimension reste souvent silencieuse. Les marques créent des merveilles, mais peinent à prolonger la magie au-delà de la vitrine. Les souvenirs des clients restent à la porte de l’atelier, faute d’écrin pour les accueillir.
C’est là qu’Eternall Stories s’impose.
Une solution simple, née d’expériences personnelles, pensée pour celles et ceux qui veulent faire durer l’essentiel. Pour les maisons qui croient, elles aussi, que l’histoire ne s’arrête pas à l’achat.
Et surtout, nous tenons notre cap :
faire du luxe un espace de transmission,
où chaque bijou devient un messager,
et chaque histoire un lien.